• PLEIADES a satisfait à ses obligations de calcul de l'index d'égalité professionnelle entre les Hommes et les Femmes pour l'année 2024.

    Cet index est obligatoire pour les entreprises de + de 50 salariés depuis 2020 et doit être publié chaque année début mars.

    Il permet d'obtenir une note sur 100 et si l'on obtient - de 75, nous devons nous engager à publier des mesures de corrections.

    Compte tenu de la répartition Homme/Femme de PLEIADES, l'index n'est pas calculable, seulement 2 indicateurs ont pu être calculés: les métiers de l'aide à domicile reste majoritairement féminin:

    • indicateur relatif au % de salariées ayant bénéficié d'une augmentation dans l'année suivant leur retour de congé maternité
    • indicateur relatif au nombre de salariés du sexe sous-représenté parmi les 10 salariés ayant perçu les plus hautes rémunérations

     

  • 03/03/2025 / Partenariat PLEIADES

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  • C'est Noël chez PLEIADES SCOP !

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    sur le territoire du Roannais, concocté par la Maison Grisard !

    Par mail : portagerepas@pleiades42.fr

    Par téléphone : 06.43.01.71.41 de 09h00 à 12h00

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    Par mail : portagerepasforez@pleiades42.fr

    Par téléphone : 07.71.43.22.90 de 09h00 à 12h00

    Standard : 04.28.21.03.00

  • Pléiades intègre l’Espace santé à Roanne

    par

     Jean-François Vaizand

    Didier Marchand, président de la Mutuelle Santémut Roanne, et Christophe Damiron, président et directeur de la Scop Pléiades. © Vincent Poillet

    Spécialisée dans le service à la personne, la Scop Pléiades s’installe au sein de l’Espace santé fondé par Santémut à Roanne. Un rapprochement logique pour les deux structures qui partagent des valeurs communes.

    En ce début d’été, Pléiades Scop intègre l’Espace santé, fondé il y a six ans par la Mutuelle Santémut, rue Roger-Salengro, à Roanne. Elle y déménage son centre de soins et son service infirmier à domicile, situés jusque-là dans le quartier Mayollet. Plus spacieux, plus adapté à ses missions, ce nouveau local lui offrira aussi l’avantage de la proximité avec les autres soignants de l’Espace santé, qui regroupe une quarantaine de professionnels.

    Cela correspond à nos ambitions de porter un projet à plusieurs. On est plus fort lorsque l’on coopère.

    Christophe Damiron, président et directeur de Pléiades

    « Pléiades sera en lien avec l’ensemble des acteurs du site et gagnera en efficacité vis-à-vis de ses bénéficiaires, se ré­jouit Didier Marchand, président de Santémut Roanne. Sur les valeurs de la coopération, nous partageons le même ADN et avons tout de suite répondu favorablement à la demande. »

    Effet positif de l’intégration au sein de l’Espace santé

    « Au-delà du service de l’aide et du soin à domicile proposé par cette Scop (Société coopérative de production, NDLR), nous souhaitons aller plus loin dans le partenariat avec une gouvernance qui soit parta­gée », poursuit-il. Christophe Damiron, président et directeur de Pléiades, croit lui aussi à l’effet positif de l’intégration au sein de l’Espace santé pour mieux asseoir les métiers du soin dans un lieu dédié aux patients : « Cela correspond à nos ambitions de porter un projet à plusieurs. On est plus fort lorsque l’on coopère. »

    Dans les limites permises par le statut des Scop, il entend jouer la carte du parte­nariat avec Santémut Roanne pour la gouvernance : «Tout est à créer dans cette collaboration. » Née de la liquidation d’une ancienne société d’aide à domicile, Pléiades est devenue une Scop lors de son rachat, en septembre 2023, par une partie de ses salariés. Ils ont investi un mois de salaire dans l’entreprise, et 18 d’entre eux en sont les administrateurs.

    « Le bien vivre à domicile »

    « Faire vivre cette démocratie d’en­treprise redonne un sens au travail, mais il s’agit de trouver un souffle suffisant pour surmonter les difficul­tés d’un secteur en souffrance depuis des années », constate Christophe Damiron. Rayonnant sur la Loire, la Scop suit 3 000 personnes, compte 350 salariés et 7 agences.

    En plus de l’accompagnement et des soins à domicile, depuis la femme en­ceinte jusqu’à la personne en fin de vie, Pléiades propose, avec 30 corps de métiers, le portage de repas, la téléassistance, la conciergerie… Grâce à des services innovants pour « le bien vivre à domicile », la struc­ture équilibre sa trésorerie et s’estime « en rémission ».

    C’est une étape de plus pour l’Espace santé.

    Didier Marchand, président de Santémut Roanne

    Heureux qu’elle ait pu préserver sa place dans l’économie sociale et solidaire plutôt que d’être absorbée par un grand groupe, le président veut s’accrocher à son ob­jectif : « Des patients satisfaits et des salariés bien dans leur peau. » « C’est une étape de plus pour l’Espace santé, confirme Didier Marchand. Nous tra­vaillons dans le même état d’esprit : accompagner les gens dans l’accès aux soins, face à une démographie médicale en baisse. Chacun apporte sa pierre à l’édifice. »

     

     

    https://www.vivamagazine.fr/pleiades-integre-lespace-sante-a-roanne/

  • 28/06/2024 / NOUS ARRIVONS BIENTOT

  • Le 17 mars 2024 : Journée Nationale des Aides à Domicile

    Merci à tous les professionnels qui accompagnent chaque jour nos bénéficiaires !

     

    N'hésitez pas à nous rejoindre.

    https://vimeo.com/922063509?share=copy

    https://vimeo.com/922052725?share=copy

     

  • Aide et soins à domicile

    Depuis que Pléiades la joue coopératif

    Publié le 01/08/2024

    Depuis que Pléiades la joue coopératif

    La Société coopérative emploie environ 300 collaborateurs. © Archives A.M.

    Il y a pile un an, le tribunal judiciaire de Saint-Étienne validait le dossier permettant de transformer l’association en Société coopérative et participative (Scop) ou des salariés sociétaires sont aux manettes. Un pari réussi ? Le point avec les équipes.

    De salariés à salariés sociétaires… 90 collaborateurs sur les 300 qu’emploie la structure d’aide et soins à domicile ont franchi le pas en décidant d’investir de leur poche pour transformer l’association en Scop. Une décision validée par la Justice il y a pile un an et devenue effective depuis octobre dernier. Avec en ligne de mire l’objectif d’apporter un nouveau souffle à Pléiades, après des années mouvementées.

    La structure a en effet connu des moments difficiles, entre plan de continuation, crise sanitaire et procédure de liquidation judiciaire… « Tous ces tsunamis ont généré pas mal de fatigue et de stress », rappelle le directeur général et président du conseil d’administration Christophe Damiron. Pour rebondir, l’équipe a donc décidé de se serrer les coudes et d’avancer unie. « Le modèle coopératif, ça a été une évidence. C’est dans notre ADN d’économie sociale et solidaire », justifie le responsable.

    « On ne regrette pas notre choix »

    Trois salariées sociétaires

    Si pour les 3.000 clients l’évolution a été transparente ou presque, en interne, c’est une véritable révolution qu’ont dû opérer les salariés. « Il a fallu mener un gros travail de pédagogie. On apprend collectivement à gouverner cette société », témoigne le directeur. Pléiade peut compter sur le soutien de l’Union régionale des Scop, présente à ses côtés depuis la genèse du projet. « On se sent épaulés et moins seuls », se félicite Christophe Damiron.

    Huit mois de gouvernance collégiale plus tard, quel premier bilan est dressé ? « Les équipes ont montré leur capacité à surmonter les épreuves et à garder l’envie », souligne en premier lieu le responsable. Qui n’élude pas certaines difficultés, notamment administratives, qui ont mobilisé beaucoup d’énergie. Pléiades a notamment dû revoir tous ses logiciels. L’organisation a également été remise à plat. « Mais tout le monde est resté mobilisé », insiste Christophe Damiron.

    Dans les objectifs

    Côté activité et santé financière, entre octobre et décembre derniers, la structure a généré 70.000 euros de résultats nets, sur près de 10 millions de chiffre d’affaires. Peu, mais symbolique. De quoi reverser une prime de participation aux sociétaires. Quant à l’année 2024, la Scop est alignée sur ses objectifs, « même si ça reste difficile », concède le directeur, « inquiet » notamment d’un contexte national « compliqué » et des difficultés récurrentes de recrutements qui freinent le développement ( lire ci-dessous ). Car les besoins en main-d’œuvre sont importants : Pleiades recherche 40 personnes.

    Si la Scop travaille en permanence à consolider son cœur de métier, elle mise, en parallèle, sur de nouveaux services pour accroître son activité ( lire ci-dessous ). Pour ce faire, elle peut à nouveau compter sur ses équipes « qui ont montré leur résilience, leur capacité à surmonter les tempêtes et à garder l’envie ». Un investissement humain et financier que les 90 salariés-sociétaires ne semblent pas regretter aujourd’hui, comme en témoignent Cécile, Corinne et Laura. « On soutient notre société et on est fidèles à notre structure. On s’est investi parce qu’on tient à nos emplois, à Pléiades et aux personnes qu’on aide et accompagne quotidiennement. On ne regrette pas notre choix », concluent en chœur les professionnelles, louant un véritable sentiment d’utilité sociale.

    Aurélie Marchadier

    (*) Pléiades est présente en Roannais, à Feurs, mais aussi à Saint-Étienne Vallée du Gier et sur le secteur de Firminy.

    Déménagement en vue du Siad du Mayollet à la rue Salengro
    Des locaux trop petits, vieillissants et plus adaptés… Le Siad, Service de soins infirmiers à domicile de Pléiades, qui emploie une quinzaine de collaborateurs, va quitter le site qu’il occupe actuellement au Mayollet. Dès le 1er septembre, il intégrera l’espace santé Maurice-Marchand, rue Salengro où il disposera de 250 m2 contre 80 m2 actuellement. « On va intégrer ainsi une communauté pluridisciplinaire médicale ce qui permettra de mieux coordonner nos interventions », note le directeur qui entend rassurer les usagers actuels. « On ne va pas abandonner notre patientèle. On conservera nos zones d’intervention prioritaires et les tournées resteront les mêmes ». Au Mayollet, peu d’accueils physiques se font. Ils devraient être renforcés avec l’arrivée en centre-ville. « On disposera également au centre de santé d’une salle de soins et de prélèvements offrant des conditions mieux adaptées ». Pléiades investit environ 30.000 euros dans ce déménagement.

    Quels sont les nouveaux services ?

    Tout en renforçant ses services historiques, Pléiades a souhaité élargir son champ de compétences ces derniers mois, avec à la clef des retombées économiques.

    Christophe Damiron, directeur.

    Axe important de son activité, l’association renforce le portage de repas à domicile. En Roannais, dès le 1er septembre, une troisième tournée quotidienne sera désormais proposée dans le secteur de Charlieu en plus des deux desservants déjà Roanne et sa périphérie, mais aussi Lentigny ou encore Coutouvre et représentant une centaine de repas portés quotidiennement (fabriqués par la maison Grisard). À la rentrée, une quatrième tournée débutera aussi dans le Forez.
    « Pas juste un repas dans un frigo »
    « On veut développer l’activité de portage mais pas en augmentant le nombre de clients servis lors de chaque tournée car on souhaite conserver ce lien qualitatif, insiste le directeur. Nos équipes ne mettent pas juste un repas dans un frigo… Elles prennent le temps d’échanger et veillent aussi sur les personnes ». D’où l’idée de créer de nouvelles tournées de proximité plutôt que d’alourdir celles préexistantes.

    Déjà 170 devis établis depuis le lancement du service

    Depuis le début d’année, Pléiades propose également un nouveau service de conciergerie. « Apporter de l’aide et des soins à domicile c’est important mais il faut, en parallèle, que l’environnement de la personne soit adapté », observe Christophe Damiron. Aussi, l’association a établi des partenariats avec une quarantaine de professionnels qu’elle peut solliciter pour des travaux de bricolage - « nos salariés n’ont pas les habilitations pour changer des ampoules par exemple »-, des travaux comme de la rénovation de salle de bain, du déménagement d’encombrants, la pose d’un monte-escalier, mais aussi de l’entretien d’espaces verts ou de dératisation, sans oublier la téléassistance… « On identifie les besoins et on sollicite les artisans. Des entreprises locales et à taille humaine, insiste le responsable, car il faut qu’on puisse avoir une trace et un suivi. L’idée est qu’on apporte une réponse à tous les problèmes domestiques ». Pléiades a déjà établi 170 devis depuis le lancement du service et c’est elle qui gère la facturation en direct. De quoi générer 80.000 euros de chiffre d’affaires potentiels en six mois de temps. Si cette activité s’accroît, Pléiade pourrait engager une assistante sociale pour accompagner les clients dans la recherche d’aides financières. 
    Quant au service de crèche, un temps envisagé, il est pour l’heure reporté à 2025. « On ne peut pas tout mener de front. On consolide l’existant, en franchissant étape par étape ». 

    Face au défi du recrutement

    C’est l’un des enjeux majeurs que doit relever Pléiades pour espérer développer son activité : recruter. La structure recherche 40 collaborateurs à temps plein et en CDI. Mais la tâche s’annonce ardue.
    Depuis quelques semaines, la publicité est diffusée sur les écrans promotionnels de certains supermarchés du Roannais et via les réseaux sociaux. Et le message est clair : « Pléiades recrute des intervenants à domicile dans toute la Loire ». Et de tous les profils. La structure innove pour informer les habitants du territoire de ses besoins en main-d’œuvre. Des publicités ciblées mais aussi des films promotionnels… « On se doit de repenser notre logiciel par rapport au marché de l’emploi car nous sommes encore en décalage », reconnaît le directeur général. Un constat qui n’est pas nouveau et dépasse bien largement ce seul organisme. Le milieu de l’aide et des soins à domicile peine à attirer de nouvelles recrues. Une réalité qui constitue un frein aux perspectives de développement de la Scop.

    Des salaires revalorisés

    Pourtant, rappelle Christophe Damiron, ces métiers ne manquent pas d’atouts. Le sentiment d’utilité sociale, le contact humain. Et les salaires aussi qui ont été revalorisés. « Ils sont désormais au-dessus du salaire moyen médian », rappelle le professionnel qui n’élude pas certaines contraintes inhérentes à ces métiers, liées notamment aux amplitudes horaires. Pour éviter le sentiment d’isolement des équipes amenées, par la nature même de leurs interventions, à œuvrer individuellement, Pléiades a aussi lancé une vaste réflexion pour instaurer « des équipes autonomes ». L’idée étant de rendre chaque salarié « acteur de son travail ».

    Pour ce faire, la Scop se fait accompagner par un cabinet spécialisé. « En fait, pour attirer des forces vives dans ces professions, il faut rappeler pour qui on le fait et pour quoi », résume Christophe Damiron. Un responsable qui espère que cet appel sera entendu. « On a potentiellement une activité qui serait en forte progression, mais qui se trouve limitée par les difficultés de recrutement. On perd en chiffre d’affaires 180.000 euros par mois, ce qui n’est pas anodin. Un chiffre qu’on réaliserait si on avait le personnel à mettre en face des besoins… »

     

    https://www.le-pays.fr/roanne-42300/economie/depuis-que-pleiades-la-joue-cooperatif_14543835/

  • Services à domicile : nouveau départ pour Pléiades, une entreprise sauvée par ses salariés

    Feurs

    De 

    Mercredi 27 septembre 2023 à 22:48

    Par 

    L'entreprise de services à la personne Pléiades, basée à Feurs, poursuit son activité car plus de quatre-vingts salariés l'ont reprise pour monter une coopérative lancée officiellement ce mois-ci. Pléiades a 60 postes à pourvoir et développe ses activités.

    Une partie des salariés qui ont versé un mois de salaire pour que leur entreprise reparte sur de nouvelles bases.

    Une partie des salariés qui ont versé un mois de salaire pour que leur entreprise reparte sur de nouvelles bases. © Radio France - ER

    Pléiades revient de loin : les dettes et redressement judiciaire, la cessation de paiement et la liquidation au printemps dernier... Mais l'entreprise repart de plus belle portée par ses salariés.

     

    Aides-soignantes, techniciennes d'intervention familiale pour la protection de l'enfance, aides à domicile, auxiliaires de vie : elles auraient pu quitter le navire et trouver du travail ailleurs sans aucun problème mais elles sont restées.

    Sur quelque 300 salariés, 87 ont accepté de verser petit à petit l'équivalent d'un mois de salaire net pour abonder au capital de Pléiades qui est désormais une Scop, une société coopérative.

    "J'ai plein d'idées, plein d'espoirs !"

    C'est le cas Claire Taing, auxiliaire de vie depuis 21 ans et depuis cinq ans au sein de Pléiades. "Quand on m'a proposé la Scop, j'ai trouvé que c'était super, raconte-t-elle. On a travaillé dessus pendant un an, en sachant qu'il fallait sortir un mois de salaire. J'ai mis mes heures supplémentaires et je ne suis pas partie en vacances. Pour moi, c'était importante de rester à Pléiades, où j'ai trouvé de l'humanité et de belles personnes autant parmi mes collègues que dans la direction. Du coup je n'avais pas envie de recommencer à zéro ailleurs". Elle fera partie des dix-sept salariés qui siègeront au conseil d'administration et elle a hâte d'y être : "pour faire remonter les informations des collègues, être leur porte-parole. J'ai plein d'idées, plein d'espoirs et je pense qu'on va avancer".

    60 postes à pourvoir

    Le directeur général, Christophe Damiron se souvient des dizaines de réunion par petits groupes pour expliquer le projet qui impliquait un sacrifice important. "Parmi nos salariés, il y a beaucoup de mamans seules, en charge de famille et le contexte économique est compliqué", souligne le dirigeant.

    Pléiades espère que ce nouveau statut lui permettra de recruter plus facilement. "Notre modèle coopératif, ça veut dire être acteur, ne plus subir, redonner du sens au travail. Ça commence, note Christophe Damiron. Des personnes qui ont su qu'on devenait une Scop nous ont contactés en disant qu'elles voulaient travailler avec nous. Nous avons 60 postes à pourvoir pour répondre à l'attente des usagers".

    Basée à FeursPléiades compte cinq antennes dans la Loire : à Roanne, Charlieu, Saint-Etienne, Saint-Chamond et Firminy. Elle intervient aujourd'hui auprès de près de 3 000 Ligériens.

    L'entreprise, épaulée par l'Union régionale des sociétés coopératives, a développé de nouveaux services notamment en conciergerie :  la téléassistance, le portage de repas, l'accompagnement véhiculé, du bricolage, des petits travaux de plomberie, afin de générer du chiffre d'affaires et permettre à l'entreprise de garder la tête hors de l'eau.

    La région Auvergne-Rhône-Alpes compte aujourd'hui 637 entreprises coopératives, dont 32 dans la Loire.

    https://www.francebleu.fr/infos/economie-social/services-a-domicile-nouv...

     

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